Incroyable ! A peine un an après la crise des subprimes, les spéculateurs recommencent à mettre le feu aux marchés. Au risque de nous replonger dans le chaos…
Marc Fiorentino, patron d’Euroland Finance, ne s’en cache même pas : il passe ses journées à buller. «En ce moment, je mise tout sur la Bourse de São Paulo», confesse-t-il entre deux coups de
fils survoltés. On le comprend : depuis janvier, les actions brésiliennes cassent la baraque (+ 65%), tout comme celles de Bombay, de Shanghai et de Buenos Aires. Et ce n’est sûrement qu’un
début, car les investisseurs, attirés par les profits faciles, placent en moyenne plus de 150 milliards de dollars par mois sur ces marchés. «Si elles ne désenflent pas, ces nouvelles bulles
spéculatives risquent d’aboutir à un désastre», prévient Patrick Artus, de Natixis.
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