Suite de l'article (lemonde.fr)

Pendant plusieurs années, Dexia, « le partenaire
des collectivités locales », a proposé des prêts à taux bonifié pour économiser les intérêts à la veille des élections. Aujourd'hui, les bombes des produits toxiques cachées dans ces paquets
cadeaux explosent, de Saint-Etienne à Bobigny.
Imaginez que votre banquier vous propose de faire une croix sur les intérêts de votre prêt pendant trois ans, le temps de payer les études supérieures de l'aîné : ça ne se refuse pas
!
Et bien les maires de Laval, Saint Etienne, Rouen, la présidence de la
communauté d'agglomération de Lille, celle du Conseil général de Seine-Saint-Denis, le patron de la société immobilière Sacvl à Lyon et cent autres responsables de
collectivités territoriales, n'ont pas refusé... et s'en mordent aujourd'hui les doigts, la crise financière ayant fait enfler des taux d'intérêts inférieur à 4% jusqu'à des sommets improbables :
10, 20, 24% par an sur plus de dix ans pour les plus malchanceux !
A chaque fois, l'offre avait été présentée de la même manière : la banque proposait de ne pas payer d'intérêts jusqu'aux élections (cantonales, municipales ou autres) puis de rembourser
à taux variable, évitant aux élus d'augmenter les impôts en période de campagne. Une offre d'autant plus alléchante qu'elle était formulée par une banque amie, Dexia, ancien
établissement public, surnommé « le partenaire des collectivités locales ».
Ce que les maires et conseillers généraux ne savaient pas, c'est que les taux
variables en question étaient adossés à des valeurs extrêmement instables (taux de changes croisés, matières premières...), les fameux « produits toxiques » dont la crise
financière a révélé les dangers. Et pourquoi ne le savaient-ils pas? Parce que Dexia ne le leur avait pas dit !
Suite de l'article (marianne2.fr)
Et une petite vidéo sur le sujet
La théorie de la rente foncière, la spéculation et le cash flow spéculatif immobilier
Adam SMITH, célèbre économiste Ecossais (1723 – 1790) a jeté les premiers fondements de la théorie dite du libéralisme économique dont on parle beaucoup et souvent
péjorativement. Adam SMITH est ainsi considéré comme le père de l’économie politique et le précurseur de la science économique.
Partant du principe de la raréfaction des biens et du principe des rendements décroissants, David RICARDO, non moins célèbre économiste Anglais (1772 – 1823), inspiré par Adam SMITH a élaboré le
concept de la rente foncière.
Je vais essayer d’être bref, précis et simplificateur pour vous l’expliquer.
ALAIN MANZON
Expert immobilier-consultant
(Télécharger
le fichier au format PDF - 195 Ko)
Son site alainmanzon.com
La reprise se fait attendre dans le secteur de la construction. Au troisième trimestre, le nombre de permis de construire de logements neufs a reculé de 18,6%, à 96 302, par rapport la même
période de l’an passé.
Dans ce contexte morose, les nouveaux programmes peinent toujours à sortir de terre. Au cours de la même période, le ministère dénombre seulement 77 000 mises en chantiers, en diminution de 35,4%
par rapport à la même période de l’an passé. Le repli est moins prononcé pour l’habitat collectif (- 25,8%) que pour les logements individuels (-45%).
Suite d el'article (capital.fr)
Ce sacré « Big Walt » est un personnage hors du commun en raison de la première impression que ses 2 mètres dégagent, « avec son air hautin», comme dirait Buffett mais aussi en raison de
l’endroit où il a passé sa vie d’investisseur, « un bureau se composant d’une pièce sous louée à Tweedy Brown» et également en raison de ses outils d’informations financières « un abonnement à
Value Line » qui lui ont quand même permis en 45 ans de dégager 15.3% de rendement annualisé. Nous admirions également son respect hors du commun envers ces clients, respect que nous aimerions
voir plus souvent copié par les gestionnaires de fonds actuels : Walter Schloss ne percevait jamais de commission, il se rétribuait seulement sur les performances de son fond et retournait aussi
chaque année, les gains à ses clients. En 45 ans, les performances de son fond ont été 7 fois négatives, contre 11 fois pour les S&P 500 !
Suite de l'article (lesdaubasses.blogspot.com)
Bonjour et merci de votre visite,
Savez-vous qu’en 1958 un logement valait en moyenne 70 loyers et que 40 ans plus tard, en 1998, il fallait dépenser en moyenne 133 loyers pour devenir propriétaire ? Savez-vous qu’en 2008, au plus haut de la bulle, un logement coutait en moyenne 262 loyers et que les prix étaient surestimés de 80% ?
L'objectif de ce blog est de vous permettre de suivre l’actualité du marché immobilier et de vous aider à comprendre pourquoi les prix peuvent monter mais aussi descendre. Vous pourrez ainsi acheter, vendre ou louer votre logement en sachant exactement où vous mettez les pieds.
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