Les cas les plus problématiques concernent les grands appartements, surtout ceux du 16e arrondissement avec défaut. « De grandes surfaces bien placées mais un peu défraîchies, qui auraient pu se vendre 11 000 euros le mètre carré en 2011, sont tombées à 7 500 euros », révèle Thibault de Saint Vincent, président de la société immobilière Barnes.
Dans les régions où le marché est gelé depuis 2008, la situation est plus ennuyeuse pour les vendeurs qui campent sur leurs positions. Sur la Côte d’Azur, par exemple, des biens qui auraient pu se vendre avec un rabais de 5 % à 10 % au début de la crise ne trouvent pas preneur, malgré une décote de plus de 30 %.
Dans un marché immobilier baissier, les erreurs se paient cher
Les digues sont en train de céder. Même à Paris et sur la Côte d'Azur, les prix du marché immobilier reculent. Pour des acheteurs et des vendeurs habitués à quinze années de hausse, ce chan...
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