Vendredi 05 Mars 2010
▪ L'histoire grecque est universelle... Son histoire sera bientôt jouée au Royaume-Uni... puis ce sera au tour des Etats-Unis.
Un petit résumé : des innocents sont séduits par la dette. Ils tombent amoureux des déficits. La dette se révèle être une vile tentatrice. Nos héros sont ruinés.
L'intrigue n'est-elle pas plus ou moins la même en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis ?
Et voilà que la livre sterling dégringole. Elle est passée sous les 1,50 $ mardi. Au lieu de la considérer comme un refuge par rapport à l'euro, chahuté, les investisseurs fuient la devise
britannique. Pourquoi ? Ils se disent que ce qui s'est produit en Grèce pourrait aussi arriver en Grande-Bretagne. Le déficit budgétaire britannique -- à 12% du PIB -- est à peu près
équivalent à celui de la Grèce, deux fois supérieur à la moyenne européenne.
Suite de l'article (la-chronique-agora.com)
Merci à Damien pour le lien