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13 février 2010 6 13 /02 /février /2010 10:17

Entre 2010 et 2014, 1400 milliards de crédits immobiliers commerciaux devront trouver un refinancement, mais la moitié de ces emprunts sont d’un montant supérieur à la valeur actuelle du bien, avertit la Commission de Contrôle du Congrès américain, qui s’attend à une nouvelle vague de défaillances, pouvant provoquer de 200 à 300 milliards de pertes supplémentaires, principalement pour les petites banques régionales qui sont très présentes dans ce type d’opérations.

http://contreinfo.info/IMG/arton2977.jpg

Volume de crédits immobilier en retard ou en défaut de paiement

Suite de l'article (contreinfo.info)

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11 février 2010 4 11 /02 /février /2010 22:40
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10 février 2010 3 10 /02 /février /2010 21:26

Entretien - jeudi 28 janvier 2010

retraites
Pierre-Édouard du Cray
Directeur des études à Sauvegarde Retraites

http://www.sauvegarde-retraites.org/

Dans une étude intitulée « Agirc-Arrco : main basse sur nos retraites », vous venez de lever un lièvre incroyable : l’État s’apprête à « piquer » dans la caisse des retraités du privé pour alimenter celle du public. Pouvez-vous nous en dire plus ?


C’est un pillage en règle. L’opération doit consister à siphonner plusieurs milliards d’euros dans les caisses complémentaires des salariés du privé (Agirc-Arrco), pour alimenter le régime des fonctionnaires contractuels et des élus (Ircantec). Alors que les prestations servies par l’Ircantec sont près de deux fois meilleures que celles des régimes de droit commun, Agirc et Arrco, à cotisation égale. Pour reprendre l’expression, très juste, du journaliste de l’hebdomadaire « Le Point » qui a repris l’étude de Sauvegarde Retraites, « c’est Robin des bois à l’envers » : on vole aux pauvres pour donner aux riches !

L’Ircantec est-elle en si mauvaise situation financière ?
Pour mettre en œuvre ce plan honteux, l’État prétexte du changement de statut de La Poste qui devient une société anonyme (SA). Les nouveaux embauchés de cette entreprise publique vont être affiliés, non plus à l’Ircantec, mais à l’Agirc-Arrco. Or, les administrateurs de l’Ircantec estiment avoir un droit de propriété sur les futurs embauchés de La Poste pendant 50 ans – un demi-siècle ! Entendez bien : « un droit de propriété sur des cotisants » dont, au surplus, beaucoup ne sont pas encore nés !
Bien que l’Ircantec ait eu la chance, au cours des dix dernières années, de recueillir 643 000 nouveaux cotisants, cette caisse est incapable, aujourd’hui, d’assumer financièrement le niveau des prestations qu’elle accorde à ses affiliés. Pour préserver coûte que coûte ces avantages, la solution de facilité consiste alors à puiser, à pleines mains, dans les autres caisses de retraite…

Et comment expliquez-vous que personne n’ait réagi ?
Cela paraît effectivement invraisemblable et c’est la question que nous nous sommes posée. Pour autant, quand on regarde de plus près, on s’aperçoit que tous les protagonistes de cette affaire y trouvent un intérêt. L’État s’est engagé à « sécuriser » le régime de retraite Ircantec auquel est affiliée une partie des fonctionnaires. Dans ce contexte, la ponction opérée dans les caisses Agirc-Arrco lui apporte un ballon d’oxygène. Les syndicats sont majoritairement dirigés par des fonctionnaires. Leur priorité est donc de préserver les avantages des agents publics, même au détriment des salariés du privé.
Par exemple, on serait en droit d’attendre que le syndicat des cadres, la CFE-CGC, réagisse pour défendre les intérêts de l’Agirc, c’est-à-dire la retraite complémentaire des cadres. Mais c’est sans compter sur le fait que la CFE-CGC assure la présidence de l’Ircantec ! Enfin, le principe même de cette ponction a été voté et donc validé au Sénat par le biais d’un amendement déposé lors des dernières discussions sur la loi relative au changement de statut de La Poste. Ce n’est pas un hasard : la Haute assemblée est élue au suffrage universel indirect par les élus locaux. Élus qui sont tous, en tant que tels, affiliés à l’Ircantec… Au bout du compte, tous se sont mis d’accord pour nous tondre la laine sur le dos !

Que peut-on faire pour empêcher ce hold-up d’État ?
On ne peut pas rester les bras croisés. Maintenant, que l’information a été dévoilée, il faut absolument la diffuser. À Sauvegarde Retraites, nous avons lancé une campagne auprès de tous les médias. L’hebdomadaire « Le Point » a déjà relayé l’information et ce n’est qu’un début. Nous nous sommes également adressés directement au Président de la République, au Premier ministre, au ministre de l’Industrie, Christian Estrosi, qui a manigancé, en bonne partie, cette opération.
Nous avons également interpellé tous les parlementaires, les 577 députés et les 331 sénateurs, les administrateurs des caisses de retraite, pour qu’ils renoncent à cette funeste entreprise. Les 87 000 membres de Sauvegarde Retraites vont être mobilisés, nous allons lancer une pétition nationale par courrier et par Internet. Enfin, il faut que chacun, à son échelle, informe ses proches et ses connaissances de ce scandale. Nous ne devons négliger aucun moyen d’action. Nous pouvons réussir. Si un tel scandale éclate au grand jour, je doute que nos politiques puissent l’assumer électoralement…

http://www.sauvegarde-retraites.org/



Réponse de la CFE-CGC aux propos faux et sans fondement qui sont largement diffusés par « Sauvegarde Retraites »:
- DOSSIER LA POSTE - IRCANTEC
- Les engagements de la CFE-CGC sur le dossier de La Poste
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10 février 2010 3 10 /02 /février /2010 19:43
http://www.quechoisir.org//Ressources/Articles/Ressources_Articles_C87FC56813B6F07FC12576C0005A22E7/illustration335actu.gif

Démarchage par téléphone, demande de rendez-vous au domicile, argumentaire bien rodé, plaquette luxueuse : l'activisme des commerciaux chargés de placer des produits de défiscalisation immobilière type loi Scellier ne se dément pas. « Que Choisir » vous propose de découvrir leurs zones d'ombre, l'envers du dépliant sur papier glacé.

Suite de l'article (quechoisir.org)

Merci à Philippe pour cet article.

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9 février 2010 2 09 /02 /février /2010 22:06
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8 février 2010 1 08 /02 /février /2010 22:17

Selon Loic Abadie, pour cette seule année 2009, via son déficit (que nous paierons forcément d'une manière ou d'une autre dans un avenir proche) l'Etat a placé sur la tête de chaque ménage français la somme de 8745€, soit 728 € par mois...environ 70% d'un SMIC net !

 

Voir le dernier billet de Loic Abadie >  Plus c’est gros, mieux ça passe !

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8 février 2010 1 08 /02 /février /2010 20:36

Source BFM > Fiorentino


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8 février 2010 1 08 /02 /février /2010 19:39
http://q.liberation.fr/photo/20100205/photo_0302_459_306_117764.jpg?m=1265654258adzadad

L’Espagne, la Grèce et le Portugal, fragilisés par leur dette publique, sont attaqués par les marchés. Conséquences : baisse de l’euro et chute des Bourses.

La finance veut-elle la peau des Etats de la zone euro ? Vendredi, les principaux marchés européens (action, obligation et devises) ont continué leur dégringolade. La Bourse de Paris a perdu 3,40%. Et celle d’Athènes 3,73%. L’euro, lui, est passé sous la barre des 1,36 dollar pour la première fois depuis huit mois. En ligne de mire : les 30 000 milliards de dette publique cumulés par les pays du G7 et la situation de la Grèce, de l’Espagne et du Portugal. Tout cela dans un climat «de très grande nervosité», selon un opérateur parisien.


Qui attaque la Grèce et l’Espagne ?

Plus personne ne le conteste, la situation des finances publiques de la zone euro, y compris celle de la Grèce, ne justifie pas une telle panique des marchés financiers qui, désormais, jouent clairement l’éclatement de la zone euro. Selon nos informations, émanant à la fois d’autorités de marché et d’établissement financiers, une grande banque d’investissement américaine et deux très importants hedge funds seraient notamment derrière les attaques contre la Grèce, le Portugal et l’Espagne. Leur but ? Gagner un maximum d’argent en créant une panique qui leur permet d’exiger de la Grèce des taux d’intérêt de plus en plus élevés tout en spéculant. Pourquoi ne pas citer les noms ? Parce qu’il s’agit d’un faisceau de présomptions qu’un tribunal risque de juger insuffisant en cas de procès. Et comme le dit un opérateur de marché : «On ne joue pas avec ces gens-là.»

Suite de l'article (liberation.fr)

Merci à Marc pour cet article intéressant.

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7 février 2010 7 07 /02 /février /2010 22:40

A événements exceptionnels, mesures exceptionnelles
Alors que les outils les plus invraisemblables ont été utilisés pour éviter un effondrement du système financier, et que la tempête s'est maintenant calmée sur ce front, de plus en plus de voix se demandent les Etats-Unis vont parvenir à limiter la casse pour les générations futures.

 

Augmenter les impôts n'est jamais très populaire, surtout en période de reprise, et réduire les dépenses est à l'inverse de la logique actuelle de relance gouvernementale (qui se chiffre en milliards de dollars).

Il faut donc trouver autre chose
Plusieurs solutions alternatives existent pour renflouer les caisses de l'Etat. Aujourd'hui, deux en particulier font l'objet de vifs débats. Le premier est assez classique : laisser le dollar s'effondrer face à ses principaux partenaires commerciaux.

 

Laisser filer le dollar ?
Suivant ce scénario, trois effets bénéfiques en découlent pour les Etats-Unis :
1) les exportations deviennent plus compétitives, ce qui permet de relancer la machine industrielle ;
2) les importations deviennent plus chères, poussant ainsi les Américains à consommer davantage américain et non européen ou chinois ; et, finalement ;
3) les sociétés américaines actives à l'international voient leur bénéfice consolidé s'accroître lorsqu'elles rapatrient leurs profits générés hors des Etats-Unis (un million d'euros vaudra plus qu'avant, si le dollar baisse).

Suite de l'article (easytrading.forumactif.com)

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6 février 2010 6 06 /02 /février /2010 00:29
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